Bonsoir visage, qui connaît les distances entre lui et celui des autres, ton regard verse une image lorsqu’il descend le long de la ligne de la glace. C’est comme un éclair perçant l’arc-en-ciel en 7 couleurs. C’est la lumière qui éteint toute l’éternité. Les lampadaires allumés dans l’obscurité, en un claquement de doigt. Quand passe le passant déjà mort de l’avenir, aux visions de celles qu’on sait retenir. Quand on dépasse l’horizon, la veine ou la vaine illusion, d’une Terre qui tourne en ronds. Et, il voit ses yeux qui se déchirent, dans l’immobilité du feu du néant. les flammes nous traversent ainsi qu’on court, ainsi que les larmes de ceux qui brûlent intérieurement se décomposent de leurs corps. Le cercueil scellé. De ceux qui s’endorment. Leurs rêves pointant mon fléau de remonter vers les cieux où l’on règne ceux qui saignent à la lumière innocente et révélatrice des drames mentaux.
L’infortuné porte des manteaux les uns sur les autres, qui aveuglent leurs corps et qui les enracinent dans les rougeurs du vent. Marques naturelles du temps. La douleur d’écrire éternellement, sans jamais redescendre, mais devenant ce qui nous dépasse, ce qui nous surprends de la peur, et qui nous étonne de tout ce qui n’est pas vrai. Car nous gardons du seigneur, nos obsessions, des autres qui touchent nos sentiments, qui les font disparaitre. Lorsque nous partons de notre amour où nous dormons à l’écart des illusions.